Un travesti reçoit une Maîtresse dans son donjon

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il y a 2 ans

Mon salon était transformable en donjon. Le lustre cache une chaîne attachée aux poutres du plafond et sous le tapis 4 douilles disposées en croix permettent de visser des attaches .Le principe est d'enchaîner une soumise au milieu du salon dans diverses positions offertes à la vue des invités. Cette disposition avait plu au couple suisse rencontré sur le net. Elle Maitresse et lui travesti soumis.

Pour notre rencontre d'un week-end elle demanda de me mettre en tenue. J 'obéis à ses ordres un peu anxieuse de me livrer ainsi sans défense. Je passais 2 heures en début d'après midi du vendredi à me préparer ,m' épiler complètement, ensuite cat-suit en voile, string noir bien tendu, serre taille vinyl ajusté au maximum pour mettre les fesses en valeur, soutien gorge pigeonnant assorti avec mes seins silicone 90 C et bottines vernies à hauts talons.

Je choisi une perruque avec des longs cheveux blonds que je réglais avec des pinces pour bien les tenir. Un maquillage soigné mettant en valeur les yeux avec un eye liner, les pommettes poudrées, un rouge à lèvres humide et une touche de parfum acheva ma préparation. L'aspect me plaisait et me rendait excitante Je disposais dans le salon les barres d'écartement,les menottes et fixais la chaîne au plafond et les attaches au sol. Et j'attendais l'estomac noué

Un coup de sonnette vers 4 heures m'avertit de leur arrivée. Je m'avançais dans l'allée du jardin pour ouvrir le portillon. Je regardais autour de moi si des gens étaient dehors car dans cette tenue en me déhanchant sur les hauts talons je passais pour une pute.

Lui était à la porte avec une laisse, un collier et des bracelets de cuir doublés de métal chromé.

"Je te prépare pour Sonia"dit-il,"tourne toi"

Il me ramena les mains dans le dos et me fixa les menottes. J'entendis des bruits des fixations qui se refermaient sur mes poignets. J'étais à leur merci. Il me retourna et me mit le collier avec la laisse qu'il fixa dans le cou après avoir écarté les cheveux.

"Sonia veut avoir ainsi ses soumis". Puis il me tira par la laisse à la porte de la voiture pour me présenter à ma maitresse. De ce fait, involontairement je me trouvais propulsée sur le trottoir dans la rue devant chez moi. J'étais affolée d'être vue ainsi. Sonia ouvrit la portière toute de cuir vêtue, superbe, cheveux coupe carrée parfait noirs, cuissardes moulantes noires avec mini jupe et veste dont le décolleté laissait entrevoir la rondeur de ses seins bien dressés certainement par un soutien gorge push up.

Elle prit la laisse et après m'avoir jetée un coup d'oeil pour me juger ,entra dans la propriété en me tirant derrière elle.

"Des beaux arbres, dit elle, tu en feras connaissance. J'aime réserver de belles surprises à des salopes comme toi"

Je commençais à appréhender les séances de supplices promises car son mari sortait de la voiture un sac d'accessoires qui m'étaient destiné. Elle alla dans le salon pour contrôler le système d'attaches.

"Très bien ,dit-elle,viens ici salope que je t'enchaîne le temps de me préparer"

Elle sortit des entraves de bras qu'elle me fixa dans le dos en me resserrant les coudes, puis détacha mes menottes me ramenant les mains serrées à la taille et refixa la chaîne de liaison sur mon ventre. Elle prit la chaîne qui pendait du plafond et me la fixa d'abord au collier très haut, m'étranglant à moitié, puis aux entraves des coudes et la ramena entre mes cuisses pour mettre un cadenas sur le ventre à la chaîne des menottes m'écrasant mon sexe. Je tournoyais ainsi pendue au bout de ma chaîne sans défense. Elle se recula pour juger du résultat et m'enchaîna pour finir les pieds à une fixation au sol.

"Tu vas m'attendre ainsi, petite pute,que je me prépare. Je te préviens je suis longue. Tu auras le temps de méditer ta condition d'esclave sexuel et d'imaginer tes futurs sévices. Tu me plais. Je veux te faire hurler de plaisir et de souffrance. Tu vas cracher ton sperme" Sur ces parole elle m'abandonna. Je me maintenais le souffle court sur la pointe de mes bottines, seins dressés et cambrée comme une pute. La position était horrible, indépendamment que j'offrais mon corps sans défense à mes b o u r r e a u x.

Au bout d'un temps trop long,pendue par la chaîne qui m'étranglait, j'entendis ses hauts talons dans le couloir. Elle revenait pour me faire quoi? J'angoissais un peu en me tournant un peu dans sa direction mais le collier ne m'autorisait pas beaucoup de mouvement et je ne pouvais pas baisser la tête .

Elle était en short court de cuir mettant ses fesses en valeur perchée sur des cuissardes vinyl. Un chemisier noir légèrement transparent laissait deviner des beaux seins mis en valeur par un soutien gorge push up. Elle traînait à quatre pattes son mari tout vêtu de latex la taille comprimée par un serre taille en satin rouge. Ils étaient superbes.

"Avance toi et suce cette salope"lui dit-elle

Il me dégagea le sexe par l'espace du cat suit et s'exécuta. Je me pâmais de jouissance contenue tellement il me suçait avec f o r c e. Je gémissais puis au bout d'un moment sentant la sève monter irrésistiblement je criais que je n'en pouvais plus. Dix coups de fouet répondit à ma supplique pour bloquer par la douleur la montée du sperme. Le répit fut de courte durée car la douleur de mes fesses rougis et la pipe effectuée consciencieusement par son mari sans arrêt me faire de nouveau supplier d'arrêter. Elle ordonna à son mari de se retirer. Mon sexe était congétionné. Elle se recula, prit son fouet et me flagella

"Tu vas voir comme il va devenir plus petit, c'est ma méthode pour des putes de ton genre"

Au fur et à mesure que la lanière traçait des sillons rouges la douleur devenait intense et mon sexe se dégonfla pour entrer à nouveau dans mon string. Elle arrêta à ce moment. Je n'en pouvais plus. Je tournoyais au bout de ma chaîne la tête renversée à moitié inconsciente offerte comme une esclave sans défense.

"Tu es une bonne pute,tu vas voir ce WE ce qu'on peut te faire. Lundi tu seras brisée de souffrance le sexe en feu. J'ai des projets pour toi"

"Attend le WE sera long,on aura le temps d'en profiter"

Elle décrocha la chaîne du collier et je m'écroulais sur le sol les mains entravées toujours à la taille, les pieds reliés à la fixation du sol qui ne me permettait pas de m'échapper.

"Laisse-la,on attend un peu avant de la t o r t u r e r. Va me chercher la barre,j'ai envie de la voir souffrir cette salope"

J'entendis un bruit métallique dans l'entrée et son mari revins avec un tube métallique assez gros de 2 mètres équipée d'attaches en son milieu et aux extrémités. Elle me mit sur le ventre, détacha la chaîne reliant mes pieds au sol et avec deux cordes me ramena derrière mes cuisses les chevilles qu'elle attacha ainsi .Je me retrouvais privée de mes pieds. Je me demandais ce qu'elle me réservait.

Elle me délivra les bras et entrepris de me les attacher bien étendus sur cette barre au niveau des poignets,des coudes et des épaules. J'étais comme crucifiée. Puis elle fixa la chaîne pendant du plafond à l'attache centrale et me hissa. Je comprenais avec horreur ce qu'elle voulait. Je me retrouvais face à elle assise dans le canapé crucifiée reposant à peine sur mes genoux, soutenue seulement par mes bras .

"Je vais te mettre la poire d'angoisse car je ne veux pas t'entendre gémir ou hurler"

Je m'exposais à elle sans défense. Elle me sortit le sexe et commença de jouer avec la pointe de ses hauts talons. Je gémissais et ne tardais pas à bander dans cette situation.

"Tu recommences?" Elle fit un signe à son mari qui me flagella. Je me tordais pour échapper à la douleur, ce qu'elle cherchait. Elle sortit son sexe devant moi et commença à se masturber. La vue m'excitait d'autant que j'étais impuissante. Puis la crucifixion fit son oeuvre. Les bras s'engourdissaient et mon corps s'affalait doucement vers l'avant. La respiration se faisait plus douloureusement tirant sur les muscles. Je me redressais régulièrement mais avec le temps je n'y arrivais plus.

Je perdis la notion du temps tandis qu'ils s'amusaient devant moi, impuissante, se faisant prendre par son mari. Elle était très sensible du clitoris, sa masturbation lui faisait pousser des gémissements qui emplissaient la maison. Puis elle se mit à crier sans interruption quand le clitoris turgescent sortit de la gaine de chair. Elle ne se contrôlait plus,se convulsait sur le canapé.

J'étais haletante quand enfin après sa longue jouissance elle consentit à me détacher. Je restais affalée par terre de longues minutes avant de me remettre sur mes hauts talons.

Le week-end ne faisait que commencer.

Superbe histoire.💖💖💖💖💖
J'attends la suite avec impatience...! Merci...
Super vivement la suite
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